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Cancer : « La joie de vivre est le principal outil de prévention et de guérison » G.Corneau

Examens médicaux, analyses sanguines, biopsie et… le diagnostic tombe… cancer.

Etat de choc, sidération, effondrement, colère, incompréhension… Cette « bête » est là, présente dans son intimité. Du jour au lendemain la vie peut basculer, pour la personne atteinte, pour l’entourage. Annonce des protocoles de soins, chimio, radio, opération… C’est parti pour plusieurs mois, années de cohabitation avec ce compagnon indésirable et de traitements pour qu’il s’en aille, d’effets secondaires, d’arrêt de travail, de perturbation de la vie sociale, professionnelle, avec ce corps qui change, ses douleurs… Tableau pas très réjouissant. Faut faire avec, pas le choix.


Mais… le choix qu’on a c’est de choisir comment on veut le vivre. Avoir le moral a toute son importance pour devenir acteur dans le processus de guérison, mettre toutes les chances de son côté.

Les approches non médicamenteuses et les activités ont toute leur importance : soutien psychologique, activités physiques, loisirs, yoga, reflexologie, sophrologie…

Je parlerai ici de ce que je connais le mieux, la sophrologie.

Cette méthode peut accompagner la personne atteinte du cancer dès l’annonce du diagnostic, pour aider à passer l’état de choc de l’annonce, accueillir et libérer ce « gloubi boulga » émotionnel avec notamment des techniques et exercices associant des tensions douces corporelles avec le souffle et puis remettre de la JOIE, du PLAISIR dans le corps via des techniques de visualisation.


Selon Guy Corneau, (psychanalyste qui a été atteint de cancer) :

« La joie de vivre est le principal outil de prévention et de guérison »


Article à venir sur comment être acteur de ses soins en accompagnant les traitements.

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